un present predit

Le regard froid se tenant devant moi me rappel les souvenirs
Que j'ai eu a ses coté, main dans la main, nos visages gravés d'un sourire
Je voulais que ce temps passé a tes cotés durent pour toujours
Tu as été et sera la premiere a laquelle j'ai donné mon amour

Les eclats de voix, la tristesse de nos regards, ont tout modifié
Tu m'as ecoeuré à t'amuser de mes sanglots qui coulaient
Tu m'a quand meme fait croire une verité que je ne peux me defaire
Celle de croire que je ne pourrais jamais etre heureux a deux

Le temps s'écoula, je ne t'ai jamais revu depuis cette journée
Mais j'ai gardé les souvenirs de ces souffrances endurées
Tout en croyant que ne pourrai retrouver le bonheur
Passé dans les bras d'une personne aimé sans compter les heures

Puis les souvenirs s'en vont comme le sable balayé par le vent
Je vis ce nouveau visage et mon coeur s'emballa en un mouvement
Malgré tout par ce visage qui me rappelle la froideur de l'ancien
La verité que je ne pensais qu'etre que croyance s'avere etre vrai



a marine, que j'ai t'en haït, qui m'a fait croire que je ne serai jamais heureu
a toi, dont notre histoire a à peine commencé, me fais deja souffrir, et me prouve cette croyance.

enjoy

Pas mal du tout. J'espère simplement que cela ne t'est pas arrivé.

Hum ouaip, j'espère que ce n'est pas du vécu ...

C'est du vécu, il m'à d'ailleurs appelé pour savoir ou trouver un tabouret et une corde

les deux dernieres phrases sont mes dédicasses.
et oui c'est du vecu

Arf, pas de bol.

J'espère que ça va aller quand même.

Erf, désolé pour toi... jolie tentative poétique... bien que je ne sois pas vraiment réceptif à la mélancolie en général, et surtout ce qu'elle implique et entraine parfois.
Je peux t'assurer que ta "croyance" n'est pas fiable à 100%... mais bon... ce n'est que mon avis basé sur ma propre expérience.

le vent soufflait les feuilles entre l'espace de nos corps
qui ne faisait encore qu'un a l'aube de la semaine
je n'arrivait plus a me concentrer, je cherchais mes tords
alors que montait doucement ma peine

mais je ne comprend toujours pas
pourquoi plus de temps pour reflechir
les sentiments sont illogiques
et ne peuvent se comprendre ou se trouver

je ne comprend pas
je ne veux pas
je te veux
tu ne le veux pas